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Cette photo montre un lampadaire suspendu au-dessus de la rue, aperçu à Munich. En Allemagne, ce type de lampe, accrochée à un câble entre deux bâtiments, est assez courant. Il permet d’éclairer efficacement la chaussée tout en libérant de l’espace sur les trottoirs. Un détail urbain surprenant pour des yeux français ! |
À la BMW Welt de Munich, les visiteurs ne font pas que regarder les véhicules : ils peuvent monter à bord ! Cette exposition interactive permet de s’installer sur des motos ou dans des voitures pour vivre l’expérience BMW de l’intérieur. Un musée pas comme les autres ! |
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Cette voiture soigneusement protégée sous une bâche montre bien le lien fort entre les Allemands et leurs voitures. En Allemagne, l’automobile est bien plus qu’un simple moyen de transport : c’est souvent une véritable passion. Beaucoup prennent grand soin de leur véhicule, qu’il soit ancien, sportif ou saisonnier. Une culture de la voiture bien ancrée, dans le pays de BMW, Mercedes, Audi et Porsche ! |
En Allemagne, posséder plusieurs voitures n’est pas rare, surtout pour les passionnés d’automobile. Cette Porsche immatriculée "04–10" est un exemple de plaque saisonnière, utilisée uniquement d’avril à octobre. C’est courant pour les voitures de loisir, souvent sportives ou anciennes, que l’on sort seulement aux beaux jours. |
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Devant le lycée allemand, des centaines de vélos bien rangés témoignent de l’importance du vélo dans la vie quotidienne. En Allemagne, de nombreux élèves viennent à l’école à vélo, même par temps froid. Une culture de la mobilité douce bien ancrée ! |
Ce n’est pas rare en Allemagne de croiser des voitures de luxe, même dans des endroits inattendus. Le pays, berceau de grandes marques automobiles, entretient une véritable passion pour les belles voitures - et ça se voit jusque dans la rue ! |
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Ce camion de pompiers Mercedes ne ressemble pas à ceux qu’on voit en France - ni par sa forme, ni par son son d’alerte ! En Allemagne, les sirènes font "tatü-tata", un bruit bien différent de notre classique "pimpon". Même les secours ont leur touche locale ! |
Ce plat de Käsespätzle, spécialité à base de pâtes et de fromage fondu, est typique du sud de l’Allemagne. Sur la table, des boissons gazeuses, très populaires ici : les Allemands boivent souvent des boissons pétillantes … et rarement de l’eau plate. À noter : en Allemagne, pas de carafe d’eau gratuite au restaurant - on vous servira une bouteille, à payer ! |
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Dans de nombreux restaurants en Allemagne, surtout lorsqu’on mange en terrasse, on trouve souvent des plaids sur les chaises. Une attention toute simple pour permettre aux clients de profiter de l’extérieur malgré la fraîcheur. Confort et convivialité à l’allemande ! |
En Allemagne, les panneaux d’entrée et de sortie de ville sont le plus souvent jaunes, ce qui surprend souvent les Français habitués au bleu. Ce code couleur est typique de la signalisation allemande, conçue pour être claire, uniforme et très lisible ! |
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Ce panneau blanc barré de traits noirs indique en Allemagne que toutes les limitations de vitesse précédentes sont levées. C’est ce qui alimente le mythe des autoroutes allemandes sans limite de vitesse… Mais en réalité, de nombreuses portions sont limitées, notamment à cause des travaux fréquents ou de zones urbaines. La vitesse illimitée n’est donc pas partout, mais reste une particularité bien connue du réseau autoroutier allemand !
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Très populaire en Allemagne, la Spezi est un mélange surprenant de cola et de limonade à l’orange. Cette boisson sucrée, pétillante et bien rafraîchissante accompagne souvent les repas, surtout chez les jeunes. Un goût typiquement allemand… qu’on ne trouve pas souvent en France ! |
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En Allemagne, les Bierdeckel (sous-bocks) sont présents dans quasiment tous les bars… et souvent rangés dans un Bierdeckelhalter au centre de la table. Pratiques pour éviter les traces sur la table, ils servent aussi à couvrir son verre ou à indiquer qu'on n’a pas fini. Un petit objet du quotidien bien ancré dans la culture des cafés allemands ! |
En Allemagne, même les piétons respectent strictement les feux. Traverser au rouge, même sans voiture à l’horizon, est très mal vu - et peut même être verbalisé. M. Koehler avait insisté : on attend le vert ! Résultat ? Une photo rare : des Français patients au feu rouge. Comme quoi, l’immersion culturelle fonctionne ! |
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En Allemagne, les plaques d’immatriculation commencent toujours par une, deux ou trois lettres indiquant la ville ou la région : M pour Munich, N pour Nuremberg, S pour Stuttgart, NU pour Neu-Ulm, etc. Suit ensuite une combinaison de lettres et de chiffres. Fait amusant : on peut choisir ces lettres et chiffres, souvent pour y mettre ses initiales ou une date importante. Une plaque, mais un peu personnalisée ! |
Sur les plaques allemandes, entre les lettres de la ville et le reste de la plaque, on remarque deux vignettes rondes : En haut, la vignette du contrôle technique (TÜV), obligatoire tous les 2 ans. En bas, le blason du Bundesland (État fédéral) auquel appartient la ville. |
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Les élèves ont été surpris de voir un distributeur de bonbons et chocolats dans l’établissement partenaire. En France, ce type de machine est interdit dans les écoles depuis 2005 pour lutter contre le grignotage. En Allemagne, ces distributeurs sont encore autorisés dans certains établissements… pour le plus grand plaisir des gourmands ! |
Dans la brasserie Hofbräuhaus à Munich, les clients les plus fidèles ont leur propre chope en céramique, rangée dans un Bierkrugtresor : un véritable coffre-fort à chope ! Chaque compartiment est fermé à clé, et réservé à son propriétaire. Une tradition bavaroise qui montre que la bière ici, c’est aussi une histoire de rituel et de fidélité ! |
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Un élève a remarqué la présence fréquente de saules pleureurs dans la région. Ces arbres au port retombant sont souvent plantés près des rivières, des lacs ou dans les parcs - des paysages qu’on a beaucoup croisés en Bavière et dans le Bade-Wurtemberg. |
Dans la cour du lycée partenaire, les élèves ont découvert une "Fahrradreparaturstation" : une station de réparation pour vélos en libre accès, avec outils et pompe intégrés. Pratique pour les nombreux élèves qui viennent à vélo ! Un bel exemple de la culture du deux-roues et de l’autonomie à l’allemande. |
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Dans la boutique Steiff, les élèves sont tombés sur une peluche à 249 € ! La marque allemande est mondialement connue pour la qualité et le savoir-faire artisanal de ses peluches, souvent faites à la main. Certaines pièces sont de véritables objets de collection, numérotées et conçues pour durer toute une vie. |